. Dans les marches Tibetaines autour du Dokerla novembre 1906-gennaio 1908 . UN PALAIS A BATANG. ;-v:-^- VILLAGE DE MERECHU BATANG 81 Près de ma maison, au fond dune rueétroite, en cul-de-sac, un petit Temple sur-monté du clocheton doré. Une vieillefemme, des jeunes gens murant desoraisons tournent autour, dans la galeriecirculaire tapissée de cylindres à prières. Une femme de Lha-sa est dans la rue, lafigure barbouillée de noir. Le Prestige dee nom est tel Adjroup, à la nouvelle,accourt pour voir cette femme et il répèteen la contemplant : « Lha-sa! LHA-sa. » J juillet. Aujourdhui nou

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. Dans les marches Tibetaines autour du Dokerla Novembre 1906-Janvier 1908 . UN PALAIS A BATANG. ;-v:-^- VILLAGE DE MERECHU BATANG 81 Près de ma maison, au fond dune rueétroite, en cul-de-sac, un petit temple sur-monté du clocheton doré. Une vieillefemme, des jeunes gens murmurant desoraisons tournent autour, dans la galeriecirculaire tapissée de cylindres à prières. Une femme de Lha-sa est dans la rue, lafigure barbouillée de noir. Le prestige dece nom est tel quAdjroup, à la nouvelle, accourt pour voir cette femme et il répèteen la contemplant : « Lha-sa! Lha-sa. » J juillet. — Aujourdhui nous allonssuivre une route parallèle à celle dil y aquinze jours. Cest une promenade ravis-sante, à 4200 mètres daltitude, dans unvallon boisé, peuplé de faisans blancs et deperruches. On se croirait dans un parc;lherbe est rase et drue comme une pelouse, le sentier sablé zigzague sous des arbresargentés, passe et repasse une miniature deruisseau. De chaque côté, les coteaux peuélevés sont couverts de rhododendronsfleuris. Il faut la sensation physique de lal- 6 82 DA

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