La Lecture . haute société voulut y goûter. On en construisit en fersous le .nom de liobbij horse et un loueur, nonnné Johnson, quiavait ouvert un manège dans Golden fSquare, à Londres, fit for-tune en quelques mois. CEST alors que, pour la première fois, lescaricaturistes, qui florissaient à cette époque en Angleterre, sendonnent à cœur joie. Cruikshank, le Plus célèbre dentro eux,nous peint les Ladies et les lords à cheval sur deux roues ; sou-vent il enchérit sur la réalité et sa verve inépuisable lentraîne ànous présenter le J^obbij horse de famille; il ajoute une, deux, trois loues, un, d

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La Lecture . haute société voulut y goûter. On en construisit en fersous le .nom de liobbij horse et un loueur, nonnné Johnson, quiavait ouvert un manège dans Golden fSquare, à Londres, fit for-tune en quelques mois. Cest alors que, pour la première fois, lescaricaturistes, qui florissaient à cette époque en Angleterre, sendonnent à cœur joie. Cruikshank, le plus célèbre dentre eux, nous peint les ladies et les lords à cheval sur deux roues ; sou-vent il enchérit sur la réalité et sa verve inépuisable lentraîne ànous présenter le J^obbij horse de famille; il ajoute une, deux, trois loues, un, deux, trois cavaliers, suivantles besoins de la cause, sans se douter que sesspirituelles boutadesont faire éclore biendes idées dans le cer-veau des inventeurs :cest Cruikshank qui adonné lidée du tandem, de la triplette, de laquadruplette, du tricy-cle, du quadricycle etde tous les nudtnyclos qui ont successivement vu le jour. Smith, de I.iver^)ool, songe alors quon pourrait peut-être. Hi bby lio se à.} famille, daprès Cruikshank. LE CYCLISME 37 utiliser les bras au lieu des pieds et construit une machine quinest autre que la draisienne ou hoJiby liorse sur trois roueset munie, en fait de guidon, dune manivelle à transmission dechaîne qui actionne la roue darrière ; cette machine est encore enusage de nos jours et fait la joie de nos enfants, sous le nom decheval mécanique. Linvention de Smith ne devait pas servir auhobby horse, dont la vogue allait en décroissant, quand, en 1856,

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