Nouvelle histoire de Lyon et des Province de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc-Lyonnais et Dombes . Armes TROUVÉES a G11ELOXGESEN 1862 Au 1/6 de la grandeur réelle.Daprès les dessins de feuM.-C. GuUjue. Dévoués càLothaire. Celui-ci, assuré de ses communications aveclItalie doù il attendait et recevait des renforts, ne se contenta pasde ex une armée concédable : Il organisa aussi une flottillequi le rendait maître du cours des rivières et, par conséquent, descommunication dune rive à lautre et du transport des vivres.Lyon, dans ces conditions, était la clé de la position. Cette habilec

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Nouvelle histoire de Lyon et des provinces de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc-Lyonnais et Dombes . ARMES TROUVÉES A G11ELOXGESEN 1862 Au 1/6 de la grandeur réelle.Daprès les dessins de feuM.-C. GuUjue. dévoués càLothaire. Celui-ci, assuré de ses communications aveclItalie doù il attendait et recevait des renforts, ne se contenta pasde former une armée considérable : il organisa aussi une flottillequi le rendait maître du cours des rivières et, par conséquent, descommunications dune rive à lautre et du transport des vivres.Lyon, dans ces conditions, était la clé de la position. Cette habilecombinaison eut un plein succès; ses adversaires ne purent guère i4« HISTOIRE DE LYON. i3o. — En 855. Fig. i3i. — En 8G3. Fig. i32. — En 870. LE ROYAUME DE LOTHAIRE Ier dapRÈS LE TRAITÉ DE VERDUNET SES TROIS PARTAGES SUCCESSIFS Le tracé de ces cartes présente une différence considérable avec celui qui est univer-sellement admis dans les atlas de géographie historique. Un passage du traité deVerdun, quelque peu obscur dans le texte du chroniqueur qui nous la conservé, aété interprété de telle sorte que la Saône et le Rhône servaient de limite entre les Etatsde Charles le Chauve et de Lothaire, sauf que ce dernier auraiteulcs comtés adjacents, aux deux rives du Rhône (per deflerum Rodani... enn comilatibus similher sibiutrimque adhxrantibus). Sibi, en latin, semploie également pour le pluriel commepour le singulier; on aurait donc pu admettre que le fait énoncé sappliquait égale-ment à la Saône. Mais lopinion générale la restreint au Rhône, et lauteur doit recon-naître (pie, dans ses travaux antérieurs, il a admis, sans le moindre doute, c

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