. Pavlo Iovio : avec un discours M. Loys Dominique sur le mesme subiet . feuplein de uerges dorjà ou Ion fait certaine expérienceJi lorejlfnsou nonauec T^nheau mot au deJTus^ tiré de lafamy, ti ET CO- G N o V i s T i Uoulant encore s entendre la parole fumâtesceflaJJauoirS^^^oucrcï meam. Car ces caluniateurs ayasdit^quele J^arquis enceUeiourneauoit ^uoulueHre aj^isfur deux efcahelles^cef a dire3 feruir aux Seigneurs Zeni-tiens en comhatantfièrement ,& au Seigneur Louis S for-zjfon heau fraprifla,temporifa
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. Dialogue des devises d'armes et d'amovrs du S. Pavlo Iovio : avec un discours M. Loys Dominique sur le mesme subiet . feuplein de ~uerges dorjà ou Ion fait certaine expérienceJi lorejlfnsou nonauec T^nheau mot au deJTus^ tiré de lafamte efcriptUrCy PROBASTI ME DOMINE, ET CO- G N o V I s T I Uoulant encore s entendre la parole fumâtesceflaJJauoirS^^^oucrcï meam. Car ces caluniateurs ayasdit^quele J^arquis enceUeiourneeauoit ^uoulueHre aj^isfur deux efcahelles^cef a dire3 feruir aux Seigneurs ZJeni-tiens en comhatantfièrement , & au Seigneur Louis S for-zjfon heau frère, en temporifantaprès la iournee^^* ceffantdefuiure les Françoy s demy deffaits.En quoy ilneutaucune coulpeiains elle fut toute du Comte de Gaïaz^i^uife >oulut faire hien Vouloir a la maifon de France, fachat que parce ilne ferait pas def^laifir au Duc Louk : lequel ne defîroitpas de Xfoir totallementViElorieuxles Seigneurs de Ueni-fe.afn qu eux, s dzjtuoient dejfatts les Françoys^eHans V/-Borieux nallaffentpour occuperlejlat de J^ftilan^par eux.defiré depuis le temps du père 3^ du Duc Philippe. Entr DE PAVT.O rOVIO.. Entre les exceUens Capitaines fut fans controuerfe de fouuerainfauoir (^grande réputation le S. lan Jaques Tri uulfe : lequel du commencement, comme ennemy du Duc Louis SforzeJ, eyoyant acheminé a occuper le T)uchéi lequel légitimement appartenait au neueUiSenpartit tout indi^ gné, ne pouuantfouffrirlesfaçons défaire dudit S. Louis y fe ioingnitauecle^oy d^, ragon qui alors scBoitdefcou^ uert ennemy de Sforzepourla mefme occafon. Etijoulant inférer qu augouuernement defonpdis il rief oit pour ce^ der ynfeulpoint audiB S, Louis .porta pour deuife vn Qua* drant de marbre, auec fine ijerge de fer plantée au milieu, ^ oppofee au Soled^quteBoitl^anciene en feigne de la mai» fon TriuulfeiaUec ^vn mot3^ ON CediT vmbra so- L .d*autant que le Soled tournoyant tant qudyeult, touf fours celle ijerge rend fon ombrage, k
